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Kunst

Yes, magic exists!
Yes, magic exists!

Antonin Artaud, Stephen Barber (Hg.)

A Sinister Assassin

Antonin Artaud’s very last work, prior to his death in March 1948, is the most extraordinary element of his entire body of work – and is the element now most enduringly inspirational, for contemporary artists, filmmakers, musicians, writers, choreographers, and others inspired by Artaud – through its fiercely exploratory, extreme and combative forms, along with its dissolutions and negations of forms, focused above all on the human anatomy, as well as on sonic experimentation and on provocations for innovation in...
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Alexander García Düttmann

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»Wenn man eine solche Frau hat, lässt sich auch in Berlin leben.«
»Wenn man eine solche Frau hat, lässt sich auch in Berlin leben.«

Maria Zinfert

Lili Kracauer. Eine biographische Skizze

»Wenn man eine solche Frau hat, lässt sich doch auch in Berlin leben«, bemerkt Ernst Bloch im Sommer 1931 in einem Brief an den Freund Siegfried ­Kracauer.1 Die Frau, um die es hier geht, ist keine andere als Lili Kracauer. Mitte der 1920er Jahre hatte sie Kracauer in Frankfurt am Main kennengelernt und war mit ihm nach ihrer Heirat im März 1930 nach ­Berlin übergesiedelt. Weitere Stationen des gemeinsamen Lebens waren Paris und – nach ihrer Flucht vor den Deutschen...
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Jean-Luc Nancy

Après les avant-gardes

Il me semble que le mot « avant-garde » a toujours été pour moi une espèce de souvenir. J’ai dû l’entendre autour de 1960, alors que le surréalisme ne se portait déjà plus très bien. Presque en même temps je découvrais Bataille et Artaud, que n’accompagnait aucune étiquette d’avant-garde. Mais c’est l’ensemble du climat de pensée qui se modifiait de manière profonde dans les après-coups de la guerre.

Les avant-gardes – ou du moins ce nom : il ne s’agit que de son usage – ont eu d’emblée pour moi un goût de passé. D’arrière-garde, en somme. Je ne plaisante pas : je pense que le soupçon porté sur la nature militaire de la métaphore était déjà présent dans le contexte où je découvrais le mot. Pourquoi fallait-il que l’art opère comme une armée ? Il y avait un doute. Ce n’était pas tant l’idée de la lutte ou du combat qui était préoccupante...

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