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Kunst

Courbets Gesicht, erfunden von Baudelaire
Courbets Gesicht, erfunden von Baudelaire

Michael F. Zimmermann

Courbet als Assyrer

Im Jahre 1847 reichte Gustav Courbet zum Salon, der großen Jahresausstellung der französischen Kunst, ein Selbstbildnis ein, das erst 1848 unter dem Titel »Le Violoncelliste« angenommen wurde. Er präsentiert sich darin nicht als Maler, sondern als leidend einfühlender Cellist. Den Bogen hält er in der Linken, obwohl er Rechtshänder war. Dass er sich weigert, sein Spiegelbild für das Publikum umzudrehen, so dass es wieder seitenrichtig erscheint, mochte noch als Authentizitätsmerkmal erscheinen. Dass er jedoch zudem seine Ambitionen als Maler durch...
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To end GOD’S JUDGEMENT
To end GOD’S JUDGEMENT

Antonin Artaud, Stephen Barber (Hg.)

Radio Works: 1946–48

Artaud’s work is performative in the sense that it never simply describes, but actively produces the events it enacts. As Austin characterises performative language, ‘the issuing of the utterance is the performing of an action’.3 Artaud’s work, performed correctly, is magical, finding its power in ritualistic chanting. Intonation is key to this, recalling what he wrote about metaphysical language in The ­Theatre and its Double, where the aim is ‘to deal with intonations in an absolutely concrete manner, restoring their...
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Jean-Luc Nancy

Après les avant-gardes

Il me semble que le mot « avant-garde » a toujours été pour moi une espèce de souvenir. J’ai dû l’entendre autour de 1960, alors que le surréalisme ne se portait déjà plus très bien. Presque en même temps je découvrais Bataille et Artaud, que n’accompagnait aucune étiquette d’avant-garde. Mais c’est l’ensemble du climat de pensée qui se modifiait de manière profonde dans les après-coups de la guerre.

Les avant-gardes – ou du moins ce nom : il ne s’agit que de son usage – ont eu d’emblée pour moi un goût de passé. D’arrière-garde, en somme. Je ne plaisante pas : je pense que le soupçon porté sur la nature militaire de la métaphore était déjà présent dans le contexte où je découvrais le mot. Pourquoi fallait-il que l’art opère comme une armée ? Il y avait un doute. Ce n’était pas tant l’idée de la lutte ou du combat qui était préoccupante...

ABO DE