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Literatur

Die chosen Metapher für schwangere Transmänner
Die chosen Metapher für schwangere Transmänner

I.V. Nuss

Die Liebe im Konvexen, in der totalen ­Rundung und zur Slutifizierung aller Männer westlich des Bosporus

Ein quallvoll verzogenes Gesicht, die Augen verdreht, der ganze Körper schaudert und verrenkt sich unter Schmerzen. Pressatmung – Wehen. Der Nachwuchs entspringt der Bauchtasche des Männchens, hunderte kleine Seepferdchen strömen aus dem Bauch des Vaters. Es sind albtraumhafte Bilder in Jean Painlevés L'hippocampe (1934), schwarzweiße Aufnahmen des Horrors: platzende Väter, sezierte Tiere, allzu symmetrisch halbiert; ein Skalpel fährt über die dutzenden Eier im zerschnittenen Bauchraum. Beim Kontakt des Messers mit den traubenartigen Organen schaudert es mir. Im schwarzweißen Kontrast sehen...
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Aktuelle Texte

Jean-Luc Nancy

Des zétrangers des zah des zuh

Etrange extraneus du dehors pas du dedans (intraneus) pas de la maison unheimlich pas du heim pas du foyer de l’autre côté des portes – fores, foreigner pas dans le rythme en trop, odd pas régulier pas ordinaire rare singulier seltsam bizarre besherat vaillant élégant fantasque tordu verschroben de travers surprenant extraordinaire étonnant

 

C’est étonnant comme nous sommes riches en mots formes façons pour tourner autour de l’étrange étranger de l’ausländer hors du pays pas « pays avec nous » comme on disait jadis en France « c’est un pays à moi » pour dire quelqu’un de mon village de mon coin ma province mon bled

 

Riches à profusion pour tout ce qui n’est pas proche et propre, approprié, convenant, mitmenschlich ce qui ne fait pas mitdasein

 

Parce qu’on présuppose que mit avec with est consistant, plein, solide et solidaire et ce qui est without avecsans mitohne avec hors ou hors d’avec la proximité

 

Mais avec même proche exige...

 

Themen

 

D’où viennent et où mènent les sentiers battus du cœur ?
D’où viennent et où mènent les sentiers battus du cœur ?

Alexander Kluge, Gerhard Richter

26 décembre 2004

26 décembre 2004 : LA SAINT-ÉTIENNE. NOËL, UNE FORCE VENGERESSE. Les masses d’eau qui noient un continent, ne viennent pas en raz-de-marée. Elles ne viennent pas du bord de mer, elles ne s’abattent pas du ciel sur nous en trombes d’eau. Elles s’abattent en un déluge de boue sur nous et nos maisons. On ne peut ni nager ni plonger dedans. Elles déferlent trop vite pour qu’on puisse s’enfuir, car elles viennent par tous les côtés. Voyez comme cette colline mouvante,...
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