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Kunst

Motive für ein Neudenken des Bildes
Motive für ein Neudenken des Bildes

Peter Szendy

Für eine Ökologie der Bilder

Die Erfahrung der Zeitlichkeit, wie sie die Naturfotografie ins Spiel bringt, erlaubt eine Annäherung an das Phänomen der Heterochronie. Es dauert hunderte Millionen Jahre, bis sich die Linien der Blutadern eines Insektenflügels aus­bilden, mit dessen Hilfe das Lebewesen blitzschnelle ­Bewegungen ausführt, jenes Lebewesen, das vielleicht ­ nicht ­länger als einen Tag lebt, vergänglich wie der Schlagschatten, der sich durch ein streifendes Licht abzeichnet, den festzuhalten der Fotograf wiederum stundenlang bis zum passenden Moment gewartet haben muss.
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»This is not my blood.«

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“Every human body is an old civilization”
“Every human body is an old civilization”

Susanne Witzgall

“Every human body is an old civilization”

Susanne Witzgall: One common point in your texts in that both of you describe migration as an incomplete process, as a practice that is not completed with the arrival at the destination, but perhaps even only finds its starting point, its beginning, there. For instance, you Christian Kravagna, have written in your essay that many migrants develop a practice of travelling back and forth, almost like commuting, a process in which there is no definitive home that one can return...
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Jean-Luc Nancy

Après les avant-gardes

Il me semble que le mot « avant-garde » a toujours été pour moi une espèce de souvenir. J’ai dû l’entendre autour de 1960, alors que le surréalisme ne se portait déjà plus très bien. Presque en même temps je découvrais Bataille et Artaud, que n’accompagnait aucune étiquette d’avant-garde. Mais c’est l’ensemble du climat de pensée qui se modifiait de manière profonde dans les après-coups de la guerre.

Les avant-gardes – ou du moins ce nom : il ne s’agit que de son usage – ont eu d’emblée pour moi un goût de passé. D’arrière-garde, en somme. Je ne plaisante pas : je pense que le soupçon porté sur la nature militaire de la métaphore était déjà présent dans le contexte où je découvrais le mot. Pourquoi fallait-il que l’art opère comme une armée ? Il y avait un doute. Ce n’était pas tant l’idée de la lutte ou du combat qui était préoccupante...

ABO DE